Que sait-on vraiment de la réalité? Quelle réalité pour la thérapie quantique? La physique quantique nous apporte un élément de réponse et force est de constater qu’un vent de changement souffle dans les pratiques de soins et pénètre même les murs des centres hospitaliers outre Atlantique.
Pour comprendre la thérapie quantique, il est nécessaire d’en passer par la physique quantique dont le développement s’est accéléré à partir de décembre 1900 avec le principe posé par le physicien Max Planck et qui a donné son nom à celle-ci.
Tout d’abord un peu d’histoire – synthétique – carnous ne pouvons citer tous les noms des scientifiques ayant participé à cette grande aventure humaine.
Dès le VIème siècle avant J.-C., des philosophes grecs ont commencé à se poser les premières questions sur la nature de la matière. Démocrite et Epicure expliquaient sa cohésion par des atomes crochus.
[pullquote]Les corps que nous voyons durs et massifs, doivent leur cohésion à des atomes plus crochus, plus intimement liés et entrelacés en ramifications complexes.[/pullquote]
CHAPITRE I
De la physique classique à la physique quantique
« La physique tente de comprendre et d’expliquer le comportement de la nature au moyen d’équations mathématiques. Celles-ci peuvent être très simples, ou incompréhensibles. Cependant, nous faisons tous, et parfois même sans le savoir, de la physique au quotidien. » A. Einstein
I – La physique classique, à l’échelle humaine
Newton au XVIIe siècle pour qui le mouvement de la Lune et celui de la chute d’une pomme obéissait à une loi unique : celle de la gravitation universelle. Cette loi vaut pour tous les systèmes à l’échelle humaine : le mouvement des étoiles et des planètes – la pesanteur. On parle d’interaction gravitationnelle.
Maxwell au XIX e siècle qui découvre le principe de force électromagnétique . On parle d’interaction électromagnétique. Elle unifie les forces électrique et magnétique et agit entre tous les objets qui possèdent une charge électrique. Là encore ce sont les effets de l’électromagnétisme à notre échelle, c’est à dire non-quantiques. Il démontre l’existence des ondes électromagnétiques et, notamment de la lumière visible qui n’est qu’un cas particulier d’onde électromagnétique. Toute notre civilisation est basée sur l’électronique et les télécommunications. L’interaction électromagnétique est la seule interaction utilisée naturellement par le corps humain pour la plupart de ses activités (communiquer, consommer de l’énergie, se développer, etc…) L’interaction électromagnétique est responsable de quasiment tous les phénomènes de la vie courante (en dehors de la pesanteur).
II – A la croisée des chemins: Albert Einstein
Einstein: des allures de scientifique un peu fou-fou avec ses cheveux en bataille mais un grand Monsieur.
Après avoir décrit la nature quantique de la lumière, dans le prolongement de la gravitation de newton, Einstein pose les principes de la relativité générale : le temps et l’espace sont relatifs à l’échelle de l’infiniment grand. Il marque l’apogée de la physique classique et le début de la physique quantique (dans la lignée de Max Planck). Pourtant avec la physique quantique, Einstein entretient une relation ambivalente. D’un côté, il en utilise certains des principes pour expliquer, entre autre, l’effet photoélectrique de l’autre elle lui inspire sa fameuse phrase : « Dieu ne joue pas aux dés dans l’Univers ». Il se méfie de la mécanique quantique et de son interprétation dite « probabiliste ».
III – La physique quantique, à l’échelle atomique
1 – La physique classique sépare les phénomènes en deux classes hermétiques : les corpuscules d’un côté, les ondes de l’autre.
La physique classique répondait à une réalité physique objective que l’on pouvait étudier sans que l’observation du physicien perturbe cette réalité. Tout objet pouvait être localisé dans l’espace à tout moment, et répondait soit à l’analyse de la trajectoire d’un corpuscule, selon sa masse et sa vitesse (lois de Newton), soit à l’analyse du déplacement d’une onde (lois de Maxwell qui définit la lumière comme étant un faisceau d’ondes électromagnétiques se déplaçant à vitesse constante dans le vide: la fameuse vitesse de 300.000 km/s.).
2 – La physique quantique au contraire, pose le principe de la dualité onde-corpuscule.
Max Planck (1900) postule l’idée selon laquelle les échanges d’énergie entre la lumière et la matière ne peuvent se faire que par paquets discontinus, les quanta (d’où la physique quantique), renonçant ainsi à la loi sacrée de la continuité, pilier de la physique classique. Les quanta de lumière ou photons, représentent l’aspect corpusculaire de la lumière; ils sont ces quantités discontinues — ces « particules » — par lesquelles le champ électromagnétique échange de l’énergie, avec la matière.
Albert Einstein (1905) va démontrer, avec sa théorie de l’effet photoélectrique , que la lumière se comportait comme si elle était formée d’une multitude de petits paquets d’énergie. Avec cette notion radicalement nouvelle de « lumière quantique » il va donc associer une onde et une particule. La lumière n’est ni une particule ni une onde, c’est un paquet d’ondes, un champ. Transistors, semi-conducteurs, microscopes électroniques et lasers sont nés de cette théorie.
LOUIS de BROGLIE (1923) va étendre cette théorie à toute matière et associer à toute particule une onde indissociable. La matière est donc « ondulatoire » et devrait présenter des caractéristiques semblables à celles de la lumière. C’est la remise en cause de toute la physique classique.
Mais comment concilier du continu (ondes) avec du discontinu (particules)?
C’est tout le paradoxe de la dualité onde-corpuscule: la lumière se comporte sous certaines conditions comme une onde et, sous certaines autres conditions, comme une particule.
Le photon (particule élémentaire de la lumière) est donc à la fois une onde et un corpuscule ! Il en va de même pour l’électron.
Ainsi, à tout objet quantique (photon, électron, etc…), on peut associer soit une onde soit un corpuscule, le choix entre ces deux possibilités dépendant de l’expérience que l’on est en train de réaliser. Voir la vidéo ci-dessous ( l’expérience des fentes d’ Young).
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[pullquote]Votre Conscience agit sur le monde. A chaque instant vous créez votre réalité. Prenez-en conscience et… agissez ![/pullquote]
CHAPITRE II
De la physique quantique à la médecine quantique
En fait, plus on regarde l’infiniment petit, plus la matière devient une illusion. A ce niveau, l’univers est constitué d’énergie et d’information, comme si la matière n’existait pas. De quoi bouleverser toutes nos idées sur la science, la philosophie ou les religions.
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